Écrit le 15 novembre 2021
Je ne saurais décrire le mal-être qui me tient… Je n’ai plus tous les mots pour décrire les maux psychologiques qui m’enserrent dans cette gangue de pensées moroses, de non joie, de regrets et de remords…
Est-ce que quelqu’un qui vous harcèle et vous envoie de la haine, de la jalousie, de la paranoïa et de la bêtise, peut entretenir en nous une sorte de champ d’ondes négatives qui nous maintient dans cet état de confusion, et de mélancolie neurasthénique ? Il n’y a pas selon moi, de causes infectieuses qui provoqueraient cela. Seulement des facteurs psychologiques…
Je tente de me soutenir en pensant à mes fils lorsqu’ils étaient petits et avaient tout l'avenir devant eux. Là, seulement, je me sens bien, mais cela ne dure pas assez. Je reviens hélas sur terre et le présent de mes petits garçons devenus grands est sombre, très sombre, très incertain, très précaire. Ils ne feront pas d’enfants, eux, parce qu’ils sont plus intelligents que moi, ils savent qu’il leur sera très difficile de survivre seuls et donc qu’il serait criminel d’entraîner des petits êtres dans un avenir infernal…
C’est aussi cela, le grand remplacement : l’enfer dissuade les pauvres Français de faire des enfants, mais pas les diaboliques envahisseurs barbares, dont la reproduction fait partie de leurs armes de conquête…
Zemmour a bien raison : Nous avons d’ores et déjà perdu le combat !
Pas d’avenir pour mes fils, de mauvaises ondes de la part de celle qui devrait me soutenir et qui préfère m’enfoncer en s’enfonçant elle-même…
Comme je l’ai déjà dit, mon passé vu par mon prisme actuel, est un verre totalement vide, dont je n’aurais bu que du sang et du poison toute ma vie durant…
Je ne suis pas psychiatre, je ne sais pas me défendre contre cela. C’est trop pour moi.
Survivre, il le faut, pour aider un tant soit peu mes fils et aussi cette mégère jusqu’à sa retraite quelle n’a pas encore. Que fera-t-elle ensuite ? Possible qu’elle m’envoie chier et se barre ! Ouf ! Ce serait bien la meilleure chose qui pourrait m’arriver… Enfin, je pourrais foutre une benne pleine de saloperies à la décharge, je pourrais faire le ménage et la vaisselle comme ça me chante et avoir une maison rangée et propre où je n’aurais pas honte d’accueillir mes amis !
Peut-être, si cela arrive, pourrais-je retrouver une sorte de joie, de liberté, et peut-être sans ces ondes négatives aurais-je un meilleur moral ?
Je n’ai pas de phrase de conclusion… juste des questionnements et des pensées noires…
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