mercredi 11 juillet 2018

Mémoires et radotages (181) – Macron - Son congrès nous coûte un max pour des nèfles


Écrit le 11 juillet 2018

 

Après une année chargée en réformes, Emmanuel Macron a prononcé ce lundi 9 juillet 2018, son second discours devant les députés et sénateurs réunis en Congrès à Versailles pour préciser les prochains grands chantiers qui attendent la majorité. Tout ce qu'il dit est vrai, mais seulement si l’on prend le soin de traduire :

"Je n'aime ni les castes, ni les rentes, ni les privilèges" : Les castes et les privilèges il les voit parmi tous ces salauds de pauvres qui profitent de se faire soigner par la sécu, toutes ces veuves qui se gobergent d'une pension de réversion, tous ces miséreux qui se foutent le RSA dans la fouille sans en branler une !... Voila la traduction !

"Une politique pour les entreprises, ce n'est pas une politique pour les riches" : Quant à la politique pour les entreprises... On en voit pas de résultat positif, étant donné que seuls les patrons des entreprises importantes peuvent faire des gains accrus, grâce aux mesures prises par Macron et donc on retombe dans la politique POUR les riches !

"Rien ne changera pour les retraités d’aujourd’hui" : Mais pour ceux de demain... Les pauvres, je les plains très sincèrement, il va les laminer !

4° enfin j'évoque une autre citation de ce destructeur du tissu social Français, "la priorité pour l'année à venir est de bâtir l'État-providence du 21e siècle." "Un État-providence émancipateur, universel, efficace, responsabilisant." : Une régression sociale sans précédent est la traduction réelle des mots trompeurs du plus grand enfumeur de la 5ème république !!!

Ce congrès à Versailles a été pour lui l’occasion d’aligner le plus grand nombre de mensonges depuis son accession sur le trône Elyséen. Il a même travaillé le registre « mea culpa », histoire de dissimuler un petit peu son dédain, son mépris des pauvre et la morgue dont il est coutumier, réfugié dans sa fatuité habituelle… C’est un très grand comédien. Je pense que dans une autre vie, il aurait pu décrocher un Molière ou un César. J’aurais personnellement préféré qu’il vive dans cette autre vie, plutôt que dans la nôtre…

Mais quand donc notre constitution permettra-elle de sanctionner le mensonge et le non-respect des engagements pris par ceux qui nous gouvernent ?

900.000 euros foutus en l’air pour la magnificence du monarque absolu !

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