Après le décès d’un jeune homme de 22 ans dans le quartier
du Breil, à Nantes, ce mardi 3 juillet 2018, à la suite d’un contrôle
policier qui aurait mal tourné, la situation s’est tendue dans plusieurs
quartiers de Nantes, dans la nuit du mardi 3 au mercredi 4.
Des émeutes avaient éclaté dans la
soirée au Breil. Plus tard, dans les quartiers de Malakoff et des Dervallières,
plusieurs véhicules ont été incendiés.
Désolation, ce
mercredi matin, à Nantes. Après les émeutes qui ont explosé au Breil, à la
suite de la mort d’un jeune homme atteint par un tir policier, la colère s’est
propagée aux quartiers voisins.
Des barricades encore fumantes
barrent l’accès à la
place centrale des Dervallières.
Ici, la mairie annexe a brûlé, la
bibliothèque, la boulangerie, le pôle médical, la maison de la justice et du
droit.
En fait, tous les commerces ont
brûlé. Seul le supermarché a été épargné par la colère.
Les habitants sortent petit à petit
de leurs appartements. Estomaqués, ils capturent sur leurs smartphones des
souvenirs bien sombres de cette nuit de colère.
Il est à noter qu’a été bien vite passés sous silence le fait que dans
la nuit, des racailles armées d’armes de guerre sont sorties dans les rues et
de nombreux coups de feu ont été entendus par les habitants atterrés. Le trafic
d’armes est particulièrement bien développé, dans ces quartiers de Nantes
aussi !
Le but d’un contrôle est de traquer
les gens qui ne sont pas en règle, les délinquants et toutes sortes de
trafiquants. On sait très bien que quelqu’un qui tente de s’enfuir au besoin en
percutant les forces de l’ordre, a en général quelque chose à se reprocher.
D’ailleurs c’est pour cela que les gendarmes peuvent tirer sur quelqu’un qui
force un barrage, parce que sinon aucun barrage ne servirait plus à rien, tout
le monde passerait de force. Si un Français classique avait été tué, en
s’enfuyant lors d’un contrôle routier, rien ne se serait passé. Mais il faut le
préciser : quand il s’agit de jeunes issus de l’immigration, le communautarisme
prend le dessus, contribuant ainsi à imposer la loi de la communauté qui est l’état
de non droit et qui représente par la violence déployée, l’insécurité de tout
le corps social Français, devant un état toujours plus laxiste et passif qui
recule partout et toujours.
On a vu ce que donnait la violence dans les rues organisée par les sections d'assaut de Hitler devant un Président Hindenburg passif et résigné : L'accession du nazisme au pouvoir, parce que la raison appartient toujours au plus fort ! Sommes-nous en train de favoriser la domination de la France par un nazisme islamique ?
La bonne attitude aurait été l’instauration
de la loi martiale et le tir à vue sur la racaille qui a participé aux émeutes
de Nantes Mardi 3 juillet. La violence urbaine est une sorte de terrorisme,
visant à renverser l’ordre établi. Entre cet activisme communautariste, les
ultragauchistes et les djihadistes, il n’y a qu’un pas. Le passage d’une sorte
de délinquance à une autre plus violente se fait tout simplement parce que le
système ne réagit pas et favorise par son immobilisme les dérives les plus
violentes sans aucun risque de sanction.
Quand dératiserons-nous ces
quartiers pourris par le communautarisme, la délinquance, les trafics et
l’islamisme ?
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