Écrit le 7 avril 2014
Et
pourquoi la Chine ne donnerait-elle pas une partie de ses kilomètres cubes de
devises excédentaires pour nous ré-équilibrer ? Non ! Elle préfère
acheter la France par petits morceaux : Les bijoux de famille France au
mont-de-piété pour assurer la pitance ! C’est ça la vérité : La
maison France est hypothéquée à 100% !
Pourquoi les îles Caïman ne donneraient pas aussi une infirme partie de ce flux de profits évaporés de chez nous et atterris chez eux ??? Faut pas rêver…
Ce que je veux dire par là, c’est que la solidarité n’est que nationale. Si elle était mondiale, il n’y aurait plus aucun déficit, aucun déséquilibre budgétaire, aucune dette.
La dérégulation partielle (au niveau mondial, mais relayée par le « machin » Européen) a permis que s’accumulent des énormes sommes créditrices pour certains, pendant que d’autres accumulent les déficits.
En complément à la définition donnée plus haut sur le laisser faire du mondialisme en matière de déséquilibre, il faut préciser que, autant la permissivité pour les déséquilibres excédentaires est permise, autant les déséquilibres déficitaires sont interdits et diabolisés. Cela oblige constamment les ensembles déficitaires à se rééquilibrer, tout en subissant le pompage de leurs moyens par les ensembles excédentaires…
Ainsi les régulations nationales insuffisantes n’ont-elles que ralenti le phénomène sans pouvoir le stopper, d’autant plus que nos dirigeants apprentis sorciers modernes ont cru que déréguler un peu sur le sol national permettrait une meilleure régulation… Elle est bonne celle là ! Comme si la dérégulation pouvait réguler !
Comme la « solution » du don gracieux et amical par les entités créditrices vers les entités surendettées, n’est pas à envisager, (sauf de manière ponctuelle et insuffisante éventuellement), il faudrait que les états déficitaires envisagent les autres possibilités qui s’offrent à eux. Ce n’est pas dans le système européen où un pays endetté donne à un état plus endetté que lui, que les équilibres se rétabliront de manière saine. C’est ce qui s’appelle « partager la misère ».
La politique de rigueur c’est : Quand l’état économise ou ponctionne 10 milliards, le PIB (l’activité) chute de 10 milliards et au mieux nous ralentissons la progression de la dette de 5 milliards, sans pour autant la diminuer. Ce n’est pas encore la bonne solution.
Exporter plus : OK c’est une solution, seulement dans la mesure où les produits que nous exportons répondent à une demande non satisfaite. Sinon, c’est une solution agressive, qui casse l'activité d'autrui pour s'en emparer le monopole exclusif. Parce qu'il faut considérer que le monde n’est pas infini. Le monde est un ensemble fini. Donc si j’exporte plus, j’appauvris les producteurs des pays importateurs, c'est de l'invasion, de l'impérialisme, de la colonisation économique. L’invasion de l’importation est inacceptable. Donc, exportation oui, mais dans une certaine mesure.
A suivre...
Pourquoi les îles Caïman ne donneraient pas aussi une infirme partie de ce flux de profits évaporés de chez nous et atterris chez eux ??? Faut pas rêver…
Ce que je veux dire par là, c’est que la solidarité n’est que nationale. Si elle était mondiale, il n’y aurait plus aucun déficit, aucun déséquilibre budgétaire, aucune dette.
La dérégulation partielle (au niveau mondial, mais relayée par le « machin » Européen) a permis que s’accumulent des énormes sommes créditrices pour certains, pendant que d’autres accumulent les déficits.
En complément à la définition donnée plus haut sur le laisser faire du mondialisme en matière de déséquilibre, il faut préciser que, autant la permissivité pour les déséquilibres excédentaires est permise, autant les déséquilibres déficitaires sont interdits et diabolisés. Cela oblige constamment les ensembles déficitaires à se rééquilibrer, tout en subissant le pompage de leurs moyens par les ensembles excédentaires…
Ainsi les régulations nationales insuffisantes n’ont-elles que ralenti le phénomène sans pouvoir le stopper, d’autant plus que nos dirigeants apprentis sorciers modernes ont cru que déréguler un peu sur le sol national permettrait une meilleure régulation… Elle est bonne celle là ! Comme si la dérégulation pouvait réguler !
Comme la « solution » du don gracieux et amical par les entités créditrices vers les entités surendettées, n’est pas à envisager, (sauf de manière ponctuelle et insuffisante éventuellement), il faudrait que les états déficitaires envisagent les autres possibilités qui s’offrent à eux. Ce n’est pas dans le système européen où un pays endetté donne à un état plus endetté que lui, que les équilibres se rétabliront de manière saine. C’est ce qui s’appelle « partager la misère ».
La politique de rigueur c’est : Quand l’état économise ou ponctionne 10 milliards, le PIB (l’activité) chute de 10 milliards et au mieux nous ralentissons la progression de la dette de 5 milliards, sans pour autant la diminuer. Ce n’est pas encore la bonne solution.
Exporter plus : OK c’est une solution, seulement dans la mesure où les produits que nous exportons répondent à une demande non satisfaite. Sinon, c’est une solution agressive, qui casse l'activité d'autrui pour s'en emparer le monopole exclusif. Parce qu'il faut considérer que le monde n’est pas infini. Le monde est un ensemble fini. Donc si j’exporte plus, j’appauvris les producteurs des pays importateurs, c'est de l'invasion, de l'impérialisme, de la colonisation économique. L’invasion de l’importation est inacceptable. Donc, exportation oui, mais dans une certaine mesure.
A suivre...
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