@ 7 juin 2008 – 18:21:22
Et dire que j'ai aimé, d'un espace fidèle,
Aimé comme tous les hommes, aux cœurs trop généreux,
D'un amour très ardent, accordant ma confiance,
Et me perdant ainsi, dans un amour trompé.
Et dire que
celles-là même, dont je baisais les pas,
M'enivrèrent de mots, mais elles ne m'aimaient pas.
Il m'a fallu longtemps, pour ouvrir les yeux,
Enfin réaliser, que la confiance est celle,
Des qualités qu'on nomme, comme de grande importance,
Et que la perdre aussi, dépasse tous les maux.
Maintenant lorsque j'aime, je veux être adoré
Puisque l'on s'est trouvé, nous allons nous aimer.
J'oublierai déception, trahison, infamie,
Et nous nous aimerons, ô toi ma douce amie.
Mais pour combien de temps ?
© zalandeau, samedi 7 juin 2008
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