Écrit le 8 mars 2009
Les gens qui dorment sur leurs
deux oreilles, rassurés par l’évolution et le progrès de l’humanité, se mettent
le doigt dans l’œil jusqu’au coude !
La culture, les bonnes manières, le bien parler, la dialectique, le sourire ne sont que des apparences que beaucoup d’humains cultivent. Ce ne sont pas forcément les reflets de l’intérieur de l’être. Combien de personnes avenantes se sont révélées d’une barbarie sans égale, d’une cruauté ou d’un sadisme sans mesure ?
Las, il faut bien le constater, une société est un organisme en équilibre instable et fragile.
Dès lors que des circonstances inattendues effacent les règles et les lois par une distension des moyens régaliens de sanction, on voit apparaître les démons qui logent au fond de l’instinct de la bête humaine.
La société est là pour réprimer les instincts animaux, afin de rendre la vie possible aux humains sous une forme humaine et sociale et non sous la forme d’une loi de la jungle, où violence, crime, domination le disputent à cruauté et barbarie…
Or, nous assistons à une dérive de l’équité, un glissement de la justice, un laxisme pour certains grands crimes et une grande dureté pour de petits délits, qui peuvent créer les conditions propices à un enclenchement de violence. Cela pourrait être source de débordement des missions régaliennes de l’état, par la barbarie que nous portons en nous et qui ne manquerait pas de se déchainer, attisée par la marginalisation des classes populaires.
Mais précisément, qui a créé ces conditions de précarisation populaire ? L’état lui-même.
L’état, en favorisant les classes aisées, en privilégiant les capitaux et en rognant sur les budgets sociaux, met en danger la paix sociale, met en danger l’équilibre précaire entre le comportement civilisé et le comportement animal.
L’état voudrait déclarer une guerre d’extermination contre le peuple qu’il ne s’y prendrait pas autrement…
Aujourd'hui, c'est l'état qui est inhumain, c'est l'état qui est barbare, d'une barbarie sans effusion de sang mais d'une violence pécuniaire sous-jacente contre les plus démunis !
La culture, les bonnes manières, le bien parler, la dialectique, le sourire ne sont que des apparences que beaucoup d’humains cultivent. Ce ne sont pas forcément les reflets de l’intérieur de l’être. Combien de personnes avenantes se sont révélées d’une barbarie sans égale, d’une cruauté ou d’un sadisme sans mesure ?
Las, il faut bien le constater, une société est un organisme en équilibre instable et fragile.
Dès lors que des circonstances inattendues effacent les règles et les lois par une distension des moyens régaliens de sanction, on voit apparaître les démons qui logent au fond de l’instinct de la bête humaine.
La société est là pour réprimer les instincts animaux, afin de rendre la vie possible aux humains sous une forme humaine et sociale et non sous la forme d’une loi de la jungle, où violence, crime, domination le disputent à cruauté et barbarie…
Or, nous assistons à une dérive de l’équité, un glissement de la justice, un laxisme pour certains grands crimes et une grande dureté pour de petits délits, qui peuvent créer les conditions propices à un enclenchement de violence. Cela pourrait être source de débordement des missions régaliennes de l’état, par la barbarie que nous portons en nous et qui ne manquerait pas de se déchainer, attisée par la marginalisation des classes populaires.
Mais précisément, qui a créé ces conditions de précarisation populaire ? L’état lui-même.
L’état, en favorisant les classes aisées, en privilégiant les capitaux et en rognant sur les budgets sociaux, met en danger la paix sociale, met en danger l’équilibre précaire entre le comportement civilisé et le comportement animal.
L’état voudrait déclarer une guerre d’extermination contre le peuple qu’il ne s’y prendrait pas autrement…
Aujourd'hui, c'est l'état qui est inhumain, c'est l'état qui est barbare, d'une barbarie sans effusion de sang mais d'une violence pécuniaire sous-jacente contre les plus démunis !
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