Écrit le 26 septembre 2014
L'indifférence est un concept vaste qui recouvre des intentions très variées.
Il y a la vraie indifférence, celle de ceux très nombreux qui se fichent pas mal de certaines choses ou même de tout ce qui peut se passer autour d'eux. Ce sont des gens non-motivés, bien sur, mais qui comprend un sous groupe d'égoïstes, dont l'intérêt est tellement égocentrique, qu'il en exclut toute compassion ou toute empathie pour tout ce qui n'est pas soi. Pour ces derniers, l'autre n'est rien, sauf s'il rentre dans le jeu de leurs intérêts propres.
Il y a l'indifférence apparente, simple maîtrise de soi, voire même forme de pudeur ; on ne va pas aller tout casser dans la rue ou brailler par simple solidarité avec celui qui s'est fait décapiter en Algérie, au motif qu'il faut montrer une indignation alors qu'il n'y a pas de manif à portée de main permettant ce genre de défoulement. Mais cela n’empêche pas d'en parler, d'y penser et d'éprouver des sentiments vifs.
Il y a l'indifférence feinte, qui est de la peur déguisée, sorte de masque, sorte de surdité, de cécité bien commode pour ceux qui n'interviennent pas quand ils pourraient éviter un harcèlement, un viol, sauver quelqu'un.
Il y a enfin l'indifférence issue de la volonté d'adhésion à la pensée unique, voire au politiquement correct. Et cette indifférence là, englobe toutes les trois formes précédentes : égoïsme et intérêt, peur de se démarquer et la maitrise de soi qui en découle. Ce sont les gens qui veulent faire carrière sans vague, sans déplaire, en préservant l'entièreté de leur avenir. J’appellerai cela : L'indifférence courtisane... (Les lèche-culs, quoi !)...
Beaucoup d'entre nous se reconnaitront...
Il y a la vraie indifférence, celle de ceux très nombreux qui se fichent pas mal de certaines choses ou même de tout ce qui peut se passer autour d'eux. Ce sont des gens non-motivés, bien sur, mais qui comprend un sous groupe d'égoïstes, dont l'intérêt est tellement égocentrique, qu'il en exclut toute compassion ou toute empathie pour tout ce qui n'est pas soi. Pour ces derniers, l'autre n'est rien, sauf s'il rentre dans le jeu de leurs intérêts propres.
Il y a l'indifférence apparente, simple maîtrise de soi, voire même forme de pudeur ; on ne va pas aller tout casser dans la rue ou brailler par simple solidarité avec celui qui s'est fait décapiter en Algérie, au motif qu'il faut montrer une indignation alors qu'il n'y a pas de manif à portée de main permettant ce genre de défoulement. Mais cela n’empêche pas d'en parler, d'y penser et d'éprouver des sentiments vifs.
Il y a l'indifférence feinte, qui est de la peur déguisée, sorte de masque, sorte de surdité, de cécité bien commode pour ceux qui n'interviennent pas quand ils pourraient éviter un harcèlement, un viol, sauver quelqu'un.
Il y a enfin l'indifférence issue de la volonté d'adhésion à la pensée unique, voire au politiquement correct. Et cette indifférence là, englobe toutes les trois formes précédentes : égoïsme et intérêt, peur de se démarquer et la maitrise de soi qui en découle. Ce sont les gens qui veulent faire carrière sans vague, sans déplaire, en préservant l'entièreté de leur avenir. J’appellerai cela : L'indifférence courtisane... (Les lèche-culs, quoi !)...
Beaucoup d'entre nous se reconnaitront...
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