Écrit le 12 septembre 2014
Cela
fait un an aujourd'hui qu’Al Zandeau sévit sur ce blog. Il a raconté plein de trucs sur
lui-même, très impudiquement d’ailleurs, déballé ce qu’il pense de la politique
et de la société, raconté quelques vacheries pratiquées par les gens croisé dans sa vie
d’avant.
Mais il y a toujours eu continuité entre avant et maintenant, entre maintenant et après…
Il n’est nul havre de paix, tant que nous sommes plus nombreux qu’un seul, dans un monde donné.
Il y a eu une mouche à merde ne sachant que déstabiliser et qu’il a interdit de séjour sur son blog, parce qu’échanger, oui, mais être harcelé, non !
Il a eu ces amitiés écloses après beaucoup de méfiance. Il en a été extrêmement content, mais déçu quand elles ont rompues sans qu’il sache pourquoi. Pourquoi un jour on te félicite et le lendemain on coupe les ponts avec toi ? Pourquoi un jour on plaisante avec toi et le lendemain on ne publie plus tes commentaires et on ne te répond plus ?
Est-ce un mot qu’il a dit ? Il vérifie, il ne voit pas quoi. Est-ce un mot d’un commentaire tiers ? Est-ce une calomnie que l’on répand dans son dos ? Est-ce un chantage exercé ? Sa venue sur des blogs ayant entrainé d’autres commentateurs, a-t-il été instrumentalisé momentanément puis rejeté après usage ? Il ne le saura jamais.
Heureusement il se borde en n’acceptant pas ces fausses icônes de l’amitié fausse. Cela fait moins de mal de perdre quelque chose qui n’a aucune représentation.
Il y a heureusement ces personnes qui partent et reviennent régulièrement, apportant un peu de convivialité…
Il a pu constater que les structures cybernétiques permettent une exacerbation de l'intolérance de certaines personnes, aussi bien en politique qu'en amitié ; les amis de leurs ennemis deviennent aussi leurs ennemis, peut-être davantage que dans la vie réelle. Il a compris que s’il veut s’exprimer librement, il doit accepter le silence autour de lui. Il suppose que cet isolement est celui de l’écrivain, le talent en moins et les droits d’auteur en moins aussi...
Il a eu souvent à se demander "Est-ce que je mets un commentaire ?". Si c’est trop personnel, il n’ose pas. Si le texte est très beau, comment peut-il le dire sans tomber dans la flagornerie ou l'obséquiosité ? Comment ne pas perdre un ami sans parce qu'il ressentirait des flatteries malsaines ?
Il continuera peut-être son espèce de journal quotidien, seul moyen d’écrire mieux qu’il ne parle, tant il perd son vocabulaire au fil du temps, pour continuer à faire travailler son cerveau et pour déverser son trop-plein de stress, comme dans une sorte d’auto-thérapie…
Mais il y a toujours eu continuité entre avant et maintenant, entre maintenant et après…
Il n’est nul havre de paix, tant que nous sommes plus nombreux qu’un seul, dans un monde donné.
Il y a eu une mouche à merde ne sachant que déstabiliser et qu’il a interdit de séjour sur son blog, parce qu’échanger, oui, mais être harcelé, non !
Il a eu ces amitiés écloses après beaucoup de méfiance. Il en a été extrêmement content, mais déçu quand elles ont rompues sans qu’il sache pourquoi. Pourquoi un jour on te félicite et le lendemain on coupe les ponts avec toi ? Pourquoi un jour on plaisante avec toi et le lendemain on ne publie plus tes commentaires et on ne te répond plus ?
Est-ce un mot qu’il a dit ? Il vérifie, il ne voit pas quoi. Est-ce un mot d’un commentaire tiers ? Est-ce une calomnie que l’on répand dans son dos ? Est-ce un chantage exercé ? Sa venue sur des blogs ayant entrainé d’autres commentateurs, a-t-il été instrumentalisé momentanément puis rejeté après usage ? Il ne le saura jamais.
Heureusement il se borde en n’acceptant pas ces fausses icônes de l’amitié fausse. Cela fait moins de mal de perdre quelque chose qui n’a aucune représentation.
Il y a heureusement ces personnes qui partent et reviennent régulièrement, apportant un peu de convivialité…
Il a pu constater que les structures cybernétiques permettent une exacerbation de l'intolérance de certaines personnes, aussi bien en politique qu'en amitié ; les amis de leurs ennemis deviennent aussi leurs ennemis, peut-être davantage que dans la vie réelle. Il a compris que s’il veut s’exprimer librement, il doit accepter le silence autour de lui. Il suppose que cet isolement est celui de l’écrivain, le talent en moins et les droits d’auteur en moins aussi...
Il a eu souvent à se demander "Est-ce que je mets un commentaire ?". Si c’est trop personnel, il n’ose pas. Si le texte est très beau, comment peut-il le dire sans tomber dans la flagornerie ou l'obséquiosité ? Comment ne pas perdre un ami sans parce qu'il ressentirait des flatteries malsaines ?
Il continuera peut-être son espèce de journal quotidien, seul moyen d’écrire mieux qu’il ne parle, tant il perd son vocabulaire au fil du temps, pour continuer à faire travailler son cerveau et pour déverser son trop-plein de stress, comme dans une sorte d’auto-thérapie…
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