Peut-on continuer à donner le pouvoir aux assassins et à livrer les forces de l'ordre en sacrifice ???
Peut-on continuer à donner le pouvoir aux assassins et à livrer les forces de l'ordre en sacrifice ???
Enfin on pense aux gueux... Imposer les ZFE c'est comme obliger tous les commerces d'une ville à ne vendre que des produits de luxe : Caviar, Ortolans, Foie gras, sacs hermès... Dictatures de la minorité privilégiée des EELV qui doit cesser !!! Bravo ) LR, RN et certains LFI pour leurs votes à l'assemblée pour abolir ces zones réservées aux nantis !!!
Bravo aussi pour la reprise de la A69, qui est vraiment une nécessité économique et industrielle !
ZFE : Alexandre Jardin dénonce «un système absurde et violent»
" Zone à Forte Exclusion " dit Alexandre Jardin
Publié le Mis à jour le
Dans le cadre de l'examen du projet de loi de "simplification", les députés ont approuvé ce mercredi soir la suppression des ZFE, ces zones qui excluaient de la circulation les véhicules les plus polluants. Une quarantaine d'agglomérations sont concernées.
Elles étaient sur la sellette, contestées de part et d'autre de l'échiquier politique. Les députés ont approuvé dans la nuit de mercredi à jeudi, dans le cadre de l'examen du projet de loi de "simplification", la suppression des ZFE (zones à faibles émissions), qui restreignent la circulation de certains véhicules. Introduite en commission par les LR et le RN, cette suppression a été adoptée à 98 voix contre 51 avec les voix du RN, de la droite, de LFI et de quelques macronistes.
Créées en 2019, étendues en 2021, ces zones avaient pour but d'améliorer la qualité de l'air et de limiter les émissions de particules fines, responsables de maladies respiratoires et de 40.000 décès par an, selon Santé Publique France, en excluant certains véhicules en fonction des vignettes Crit'Air. Une quarantaine d'agglomérations étaient concernées, mais leur mise en place et les critères d'application variaient selon les territoires.
Une salve d'applaudissements a salué, dans l'hémicycle, l'approbation de cette suppression. Député UDR, Eric Ciotti a ainsi parlé sur X de victoire contre "un outil technocratique d'exclusion des classes moyennes et populaires des centres-villes". "Lutter contre la pollution de l'air, il faut le faire, lutter contre les pauvres non", a renchéri le vice-président des députés RN et porte-parole du parti Laurent Jacobelli, sur franceinfo ce jeudi. "Je ne vois pas pourquoi on interdirait les centres urbains aux classes moyennes, ou aux classes les plus fragiles", a dénoncé le député RN de Moselle.
Pour afficher ce contenu X (anciennement Twitt
Nul n'est besoin de ces curetons, papes et sous-papes... J'écoute de la musique qui me fait vibrer... Des musiques sacrées, classiques, chansons, chants... qui nous élèvent auprès de Dieu... Qui nous font croire en Dieu... Qui nous montrent que Dieu est sur terre puisqu'il a su inspirer et pénétrer ces compositeurs (et paroliers)... Oui Dieu est nulle part et peut aussi être partout, dans la beauté quasi divine des oratorios, requiem, messes, etc... C'est beau, et la beauté, c'est Dieu !!!
https://zalandeau.blogspot.com/2021/04/luis-mariano-ave-maria-de-charles-gounod.html
Amélie
Pelletier journaliste sur Doctissimo
Mis à jour le 12/06/2024 à 08:44
Le point avec le Dr Philippe Godeberge, gastro-entérologue et hépatologue à Paris.
Il s'agit tout
simplement d'une accumulation excessive de gaz dans l'estomac et/ou
l'intestin, ce qui provoque des ballonnements et une évacuation de ces
gaz par la bouche (éructation) ou l'anus (pet).
Il existe un certains
nombre de mots associés à ce phénomène : les bruits intestinaux que l’on entend
chez les personnes ballonnées sont des "borborygmes" ou
"gargouillements" ; l’éructation (le fait de roter) est souvent
appelée "aérophagie" et l’émission de gaz par l’anus est caractérisée
par le terme "pets" ou "gaz intestinaux".
Les flatulences
présentent généralement une odeur désagréable quand le corps l’évacue sciemment
ou non.
Pets, gaz,
flatulences… Quel que soit le nom qu’on leur donne, ces émissions de gaz
parfois malodorant sont un processus parfaitement physiologique. Constituées
d’un mélange d’hydrogène, de méthane et dioxyde de carbone, elles
résultent de la fermentation, par les bactéries présentes dans
le côlon, des résidus alimentaires non absorbés.
Leur production
peut être jugée excessive par certains, mais il s’agit là d’une "impression
purement subjective, qui dépend de l’idée que ces personnes se font de la
production "normale" de gaz intestinaux", souligne le Dr
Godeberge.
D'ailleurs, une
personne en bonne santé pète en moyenne entre 13 et 21 fois par jour,
ce qui représente 0,5 à
"La
plupart du temps, les gens ne s’en rendent pas compte, car l’évacuation de ces
gaz a lieu dans des circonstances appropriées : ils sont seuls, aux toilettes,
en pleine nature… Ce n’est que lorsque l’envie de péter survient à des moments
inopportuns et que l’on est obligé de se retenir ou, au contraire, dans
l’incapacité de se retenir, qu’elle est mal vécue".
Plus que l’excès
de gaz / flatulences, ce serait donc leur évacuation qui poserait problème.
D’ailleurs, les plaintes pour flatulences excessives émanent davantage
des femmes que des hommes, traduisant une gêne sociale typiquement
féminine, souligne le gastro-entérologue.
Le volume des
flatulences dépend essentiellement de deux choses, interdépendantes :
la composition du microbiote intestinal et l’alimentation.
"Certains
profils de microbiote intestinal ont une propension à produire davantage de gaz
que d’autres. Or, on sait que la nature des microorganismes qui composent cet
écosystème (notamment les bactéries), est modulée par divers facteurs :
l’alimentation, les antibiotiques, les antécédents de maladie
intestinale (en particulier la diarrhée du voyageur), le stress... ", explique le gastro-entérologue.
La production
excessive de flatulences peut s’accompagner d’une sensation de ballonnement au
niveau de l'intestin. Elle n’en est pourtant pas nécessairement la cause, même
si l’évacuation des gaz intestinaux soulage temporairement le ventre en
diminuant la tension abdominale. Une étude* a en effet révélé que les personnes
souffrant de ballonnements
ne produisent pas davantage de gaz que les autres, mais les expulsent plus
souvent. En cause, la présence d’une bactérie, Bilophila wadsworthia,
productrice d’un gaz irritant qui augmente la sensibilité intestinale. Ce n’est
donc pas la quantité de flatulences qui est à l’origine de l’inconfort, mais
leur nature.
A contrario,
"on peut aggraver la sensation de ballonnement à force de s’empêcher
d’évacuer les gaz", souligne le Dr Godeberge.
Dans d'autres
situations, ce qui est en cause n'est pas la quantité de gaz intestinaux, mais l'impossibilité
de contrôler leur évacuation. La perte involontaire des flatulences,
appelée incontinence au gaz, est loin d'être exceptionnelle.
Cette baisse ou perte du contrôle s'observe notamment quand la région anale ou
périnéale est altérée ; soit de façon transitoire, comme après un accouchement
ou une intervention chirurgicale ; soit de façon permanente à cause de l'âge ou
d'une maladie neurologique.
Autre cause
possible de flatulences : la constipation. En effet, l’accumulation des selles
dans le gros intestin prolonge et accentue le processus de fermentation à
l’origine de la production de gaz intestinaux.
Plus rarement, les
flatulences excessives peuvent être le signe d’une mauvaise absorption
intestinale des aliments (le passage des substances que nous ingérons à travers
les parois de l'intestin), liée à certaines maladies : Sibo (une maladie
intestinale méconnue caractérisée par une pullulation bactérienne de l'intestin
grêle), intolérance
au lactose ou maladie
cœliaque notamment. Une consultation chez un médecin, associant un
interrogatoire minutieux et un examen clinique, permettra d’orienter le
diagnostic de ces flatulences excessives.
Il n’y a aucune
raison de s’alarmer en cas de flatulences jugées excessives. Quand elles sont
associées à des douleurs
abdominales, une sensation de ballonnement ou des modifications du transit,
on fait probablement face à une colopathie fonctionnelle ou à un syndrome
de l'intestin irritable (un trouble du tube digestif qui provoque des
douleurs abdominales, une constipation ou une diarrhée).
Il est bon de
vérifier cette hypothèse lors d'une consultation ; celle-ci devient en revanche
impérative en cas de signes de gravité :
Certains aliments
sont bien connus pour leur pouvoir fermentescible :
Sans oublier les
féculents (pommes de terre, pâtes, blé, maïs, céréales - à l’exception du riz),
riches en glucides, et tous les aliments
riches en protéines. Limiter la production de gaz intestinaux passe donc
avant tout par une révision de son alimentation et de ses repas (sur conseil de
son médecin).
"Pas
question d’interdire ces aliments, mais d’en limiter la quantité ingérée. On
peut aussi revoir la façon de les consommer, en privilégiant les légumes cuits
aux crudités, de les cuisiner, en les blanchissant, etc. La façon de les manger
est tout aussi importante : la mastication est la première étape de la
digestion, il est donc important de manger et de boire lentement, de façon à
améliorer l’absorption intestinale et diminuer la production de gaz", recommande le Dr Godeberge.
Il est également
vivement conseillé de réduire sa consommation de boissons gazeuses,
surtout celles qui sont riches en fructose, et de chewing-gums sans sucres,
pourvoyeurs de sorbitol. Le microbiote intestinal étant très résilient
(autrement dit il a naturellement tendance à retrouver sa composition
d’origine), ces modifications alimentaires doivent être entreprises sur le long
terme.
Le Dr Godeberge
met en garde contre les analyses du microbiote ou la recherche des
"intolérances alimentaires" par une analyse
de sang. Ces examens coûteux et non remboursés ne débouchent sur aucune
stratégie thérapeutique.
Il rappelle que la
greffe fécale (ou transplantation de microbiote fécal) n’est pas un traitement
reconnu contre les flatulences excessives. La prise d’antibiotiques, en
diminuant la concentration bactérienne du tube digestif, peut certes s’avérer
efficace, mais pose des problèmes de santé sur le long terme.
En revanche, de
manière ponctuelle et pour une durée qui n’excède pas une semaine, les
médicaments à base de charbon permettent de "passer un cap, même s’ils
ne traitent pas la cause des flatulences excessives".
Face à une
médecine quelque peu démunie, seule une bonne hygiène de vie associant une
alimentation adaptée et la pratique régulière d’une activité physique doit donc
être privilégiée pour venir à bout des pets intempestifs !
En résumé :
En
l’absence de symptômes associés, l’excès de flatulences ne traduit aucune
maladie et n’a pas le moindre caractère de gravité. Évacuer beaucoup de gaz n’a
donc aucune conséquence si ce n’est la gêne sociale que l’émission de pets peut
entraîner. Pour y remédier, certaines règles d’hygiène de vie s’imposent.
Radio de gauche mais certaines choses sont justes , sauf les stigmatisations et diabolisations !!!
Je mets une réserve sur les propos du vieux : Il ne faut pas mélanger la notion d'ordre qui est l'antonyme du désordre et de la violence, avec la notion d'ordre social qui suggère une société féodale de classes sociales ! Hé le vioque , faut t'éclaircir les idées !!!
... Alors je fais des schémas pour me souvenir comment assembler la robinetterie d'arrêt...
Ca, c'était pour la baignoire :
Ecrit le 14 mai
2025
Hier, je n’ai regardé qu’un bon quart d’heure… Puis il
a fallu que je change de chaine pour mettre un navet, mais au moins ça m’a
calmé !
Il a carrément vomi sa haine des Français. Il est menteur, têtu, de mauvaise foi, se contredit comme toujours, il
fait des réponses qui n’ont rien à voir avec les questions, il joue le faux
modeste tout en étant imbu de sa personne, il coupe la parole pour empêcher
qu’on lui dise ses quatre vérités…
Dire « J’ai commencé la ré
industrialisation » alors que l’industrie s’écroule de toutes parts, c’est
comme dire devant un immeuble effondré « Juste un petit raccord de
peinture et ça ira »…
Françaises, Français, l’usurpateur est un ennemi de la France qui s’est fait élire machiavéliquement pour détruire notre pays ! Il faut le chasser avant que nous ne soyons revenus au servage et à la misère des époques barbares…
Un boxeur arrogant, acculé dans les cordes qui évitait les coups, voilà ce que j'ai vu ! Écœurant !
Ecrit le 11 mai 2025
C'est mercredi 7 mai qu'en allant à la machine à laver, j'aperçois de l'eau qui coule dans la zone où j'avais eu l'inondation en février dernier... Mais ce coup-ci cela tombe du plafond ???
Jeudi après enquête façon Columbo, je ne vois que l'emplacement de la baignoire dans la salle de bain, alors que l'on ne distingue pas une seule trace d'eau dans la pièce...
Et je vire l'habillage qui est sous la baignoire : un panneau d'agglomérés habillé de faïence...
Oh, la misère : sous la baignoire, un bac à douche qui déborde, drôle de boulot de la part des anciens proprios !
Puis en examinant de près, j'arrive à la conclusion que la baignoire a été posée équipée de ses tuyaux d'alimentations avant de construire le mur qui sépare les WC de la salle de bains... La baignoire est encastrée, l'espace est si minime qu'il n'y a pas moyen de réparer la tuyauterie. C'est de la jonction de la tuyauterie avec la poignée de robinet eau froide (la plus éloignée, impossible à toucher même d'un seul doigt) sous la baignoire, que vient la fuite...