Écrit le 17 octobre 2020
Un professeur d’histoire a été décapité ce vendredi 16 octobre, en fin d’après-midi, à Conflans-Saint-Honorine (Yvelines). Son agresseur présumé, un Tchétchène de 18 ans, a été abattu par la police dans la ville voisine d’Eragny (Val-d’Oise), relate l’AFP. Il a succombé à ses blessures.
Quatre personnes de l’entourage familial de l’assaillant, dont un mineur, ont rapidement été placées en garde à vue après les faits. Cinq autres ont ensuite interpellées plus tard dans la nuit, dont un parent d’élève heurté par des caricatures de Mahomet présentées en classe à titre explicatif. Puis samedi deux autres proches du terroriste se sont ajoutés à la garde à vue.
Parmi les onze gardes à vue survenues depuis les faits, des membres de la famille de l’auteur - ses parents, son grand-père et son petit frère mineur d’âge - ont été interpellés à Evreux (Eure) dans la nuit de vendredi à samedi.
Mais également des proches de son entourage non-familial, dont un couple, et au moins un parent d’élève du collège où travaillait la victime. Il s’agit d’un père (et probablement de son épouse) qui avait eu un différend avec l’enseignant sur les caricatures de Mahomet qu’il avait montrées en classe. Le père en garde à vue est celui qui s’était indigné, dans une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux, que l’enseignant ait montré des caricatures d’un “homme nu” pendant un cours dans la classe de 4e de sa fille. Ce n’est par contre pas lui qui a décapité l’enseignant. L'enquête démontre également qu'une véritable fatwa (un appel au meutre) a été lancée contre cet enseignant.
L’assaillant a par ailleurs bien été identifié comme un jeune homme de 18 ans d’origine tchétchène né à Moscou, selon la source judiciaire, et non un Algérien né en 1972 comme évoqué par les médias. Il était connu pour des antécédents de droit commun, mais disposait d’un casier vierge, et n’était pas connu pour sa radicalisation.
Il ressort de l’enquête que l’islam politique exerçait des menaces sur l’enseignement dispensé au collège.
Quel est le « tort » de ce professeur courageux, à la famille duquel je prodigue des condoléances sincères ? Avoir présenté les caricatures de Mahomet en faisant un cours sur la liberté d’expression…
Pour ceux des nombreux bobos qui doutaient encore : Il n'y a pas d'amalgame. Les musulmans sont intégrés pour la plupart dans la société Française. Mais une partie grandissante de la population immigrée est radicalisée et tue les « infidèles » que nous sommes et même parfois les musulmans paisibles, simplement parce qu’ils veulent nous imposer leur croyance, leur obscurantisme et leur religion sectaire dévoyée !
Ma femme m’a dit « Mais sachant cela, pourquoi le professeur a-t-il fait cela, il n’aurait pas du les provoquer avec ces caricatures ? ».
Je lui ai répondu : C’est exactement ce que veulent ces radicaux extrémistes : nous faire renoncer à nos droits, à nos libertés, dont celle d’expression. Ce qu’ils veulent c’est que l’on se soumette, ni plus ni moins… Et un jour ils nous imposerons, car c’est dans leur projet : les lois barbares de leur religion ignoble qui pousse à se prosterner devant un soi disant prophète qui n’est qu’un pédophile et un sanguinaire… Nous ne renoncerons pas à dénoncer cette religion de fous furieux !
Nous ne nous coucherons pas devant ces envahisseurs sectaires. Nous n’adopterons pas la Charia comme code pénal !
J’espère que ces arrestations mèneront à quelque chose… Mais je sais que notre justice plus dominée par des avocats que par des juges intraitables ne fera pas l’entièreté du « travail » que l’on attendrait d’eux… A savoir que tous ces gens arrêtés, s’ils ont cet endoctrinement intolérant, que le pouvoir nomme séparatistes, mais qui sont des ennemis de la démocratie et du peuple Français, devraient être expulsés manu militari…
Il est plus que temps de larguer les injonctions doits-de-l’hommistes de Bruxelles, de museler le conseil constitutionnel, qui empêchent la république de prendre les lois, les décrets et les arrêtés permettant de nous défendre contre le péril djihadiste, de déclarer l’état de guerre et des mesures appropriées : peines de prison significatives et réellement exécutées, expulsions, suspension de l’immigration incontrôlée, suspension des aides sociales et pécuniaires qui sont de véritables pompes à immigration illégale… Car ce n’est pas en déroulant des pétales de roses sur le chemin des terroristes et autres islamistes politiques que nous les empêcherons d’agir. Nous devons prendre des mesures drastiques, des mesures de guerre pour défendre la France. Car la liberté, c'est aussi faire la guerre pour sauvegarder la liberté !
Le pouvoir actuel déclare être en guerre contre le covid… Il ferait mieux de l’être aussi et surtout, contre cette barbarie des extrémistes islamistes, c’est le danger potentiel le plus important pour les années qui viennent…
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