Que
reviennent les joies,
Enfuies
dans le passé,
Souvenirs
sans mémoire,
Du bonheur
dépassé.
L’amour
qu’on disait beau,
Aux matins
des sourires,
Accélérait
la vie
Et
magnifiait les mots.
Le temps
répand sa moire,
Sur ces
instants de soie,
Où tout
n’était que rire,
Que charme
et volupté.
Mais
l’amour lasse un jour,
L’âme
n’est plus ravie
Un moment
de toujours,
Jouissance
délectée,
Suivi d’un
long chagrin,
Aux regrets
éternels,
Laisse le
goût amer,
Des
charmes disparus.
La douleur
des matins,
Quand la
vie n’est plus belle,
Renvoie à
l’éphémère,
Sans goût
pour le vécu.
© zalandeau alias henridelatour alias nénesse, le vendredi
6 mars 2009
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