vendredi 10 mai 2024

Mémoires et radotages (552) – Check-list Hommage à É

 


Écrit le mardi 7 mai 2024

Quand faut y aller, faut y aller…

« Je pars en voyage
Avec pour bagage
Dans ma petite musette
Cinq ou six chaussettes
Deux ou trois chemises
Ma plus belle mise
… »

 

Sac

Vêtements

Costume noir

Thermos avec café

Sac Médicaments

Pillulier

Trousse toilette

Dérinox

Mycoster

Tridesonit

Shampoing

Lactulose

GPS

Mouchoirs

Ordonnance

Agenda

Planning

Texte chanson école

Boisson

Moussaka

Fourchette

Essuie-tout

PQ

Appareil test glycémique

Carnet glycémie

Stylo

Chausse-pied

Appareil photos

Chargeur appareil photos

Lunettes

Écouteurs

Chargeur téléphone

Pognon

Porte-monnaie

Mes « papirs »

Je suis certain d’en oublier… Et là ce n’est pas en descendant de l’échelle que j’irai chercher ce que j’ai oublié…

Mais ce n’est pas le tout… Je crains de faire cette route… ça fait loin et je commence à vieillir… Ce sera probablement la dernière fois que je ferai un tel voyage comme conducteur. J’ai de l’appréhension et je regrette de m’être engagé à y aller…

A l'heure où ce sera édité... je serai parti depuis longtemps, ou bien j'aurai annulé... Merci pour le « bon voyage » !

        

jeudi 9 mai 2024

Mémoires et radotages (551) – Maintenant… Il faut ranger le bazar !


Écrit le mardi 7 mai 2024

C'est bien joli tout ça... Mais j'ai beau ranger depuis une journée... Il y a encore partout : des matériaux,  des chutes, des fixations, des forets, des disques, des machines électriques... Plusieurs journées seront encore nécessaires...














mardi 7 mai 2024

KEMO THE BLAXICAN - "La Receta"

 



 Je n'aime pas le rap... Et là, d'autant plus que n'y comprends que dalle ! Mais j'adore la musique... Il est rare que la musique des morceaux de rap soit intéressante...

 

WIKIPEDIA :

Delinquent Habits est un groupe de hip-hop américain, originaire de Los Angeles, en Californie. Formé en 1991, le groupe se compose de Ives Irie, Kemo The Blaxican, et DJ Invincible, et connu pour son rap latino à la fois mélodique et hardcore.

Biographie

Delinquent Habits est formé à Los Angeles en 19911. Delinquent Habits est le premier groupe de hip-hop latino à mélanger anglais, espagnol et spanglish1. Delinquent Habits se compose des rappeurs Kemo (David L.K. Thomas), Ives (Ivan S. Martin), et O.G. Style (Alejandro R. Martinez)1. Il signe au label PMP puis publie son premier album homonyme le 2. L'album, produit par Sen Dog de Cypress Hill, mêle, selon AllMusic, « funk sombre et rythme latin traditionnel1. » Il comprend 350 000 exemplaires vendus aux États-Unis, et un million à l'international1. Le single, Tres Delinquents, se vend à 450 000 exemplaires, et se place dans les classements américains de hip-hop1. Le single figure également dans les films Un gentleman en cavale (2001) et Bad Times (2005), ainsi que sur la bande originale du jeu vidéo Total Overdose. The Common Man est présent dans Test Drive Unlimited 2 et House of the Rising Drum dans Tony Hawk's Pro Skater 4.

Leur deuxième album, Here Come the Horns, est terminé, mais leur label PMP fait faillite en 19981. Il est finalement publié le 3 au label RCA Records4. L'album, qui fait participer le futur rappeur populaire de l'époque Big Punisher1, est classé 74e du Billboard 2005. Merry Go Round, leur troisième album, est publié le 6 au label Ark 21 Records de Miles Copeland1. Delinquent Habits a joué dans les émissions télévisées Late Night with Conan O'Brien, Yo! MTV Raps, et La Hora Lunatica With Huberto Luna1. Le groupe se lance également dans des tournées aux côtés d'artistes hip-hop comme Fugees, de groupes comme Korn, et des rockeurs comme Beck1.

Return of the Tres est utilisé pour le clip publicitaire de Nike, dans la série Joga Bonito, avec les footballeurs portugais Cristiano Ronaldo et suédois Zlatan Ibrahimović se lancer des défis techniques à tour de rôle.

       

samedi 4 mai 2024

Face à Philippe de Villiers / 2 février 2024

 


Je ne me lasse pas de ré-écouter les propos pleins de bon sens et de réalité du monde de Philippe de Villiers. Je ne résiste pas à le rééditer.


Publié le samedi 3 février 2024


 De Villiers nous explique bien mieux que je ne saurais le faire.

Ce que je remarque dans le discours de Macron, c'est qu'il dit  l'exact contraire de ce qu'il nous a dit pour la nouvelle année... Et également que le mot souveraineté prononcé à l'envi par Macron, n'est jamais suivi de "Française" et veut certainement signifier "Européenne", donc sans aucune réalité ... Ce qui implique une mystification manipulatoire comme d'habitude !!!

        

Mémoires et radotages (550) - Pompidou avait son centre... Pharaon, ses pyramides... zalandeau a sa véranda !


 

Écrit le jeudi 2 mai 2024

Au début des ténèbres de mars 2024, était le verbe... Oui mais le verbe ne savait pas construire ! Alors en panne de travaux, le verbe passa la main  à la main... et ce bout de plan servit à relancer la construction... Avec tout l'imaginaire que ce plan ne suggérait pas...

Et le 2 mai 2024, inauguration triomphale ce ce monument à la gloire (posthume) de zalandeau et du génie Français...



Vive la France !

Tala tala, tala tsoin tsoin-in -in, talalala-aaaa-a tsoin-tsoin....

Les journalistes se pressent autour du "père véranda" comme l'ont surnommé ironiquement tous les riverains (lesquels ont ajouté : " Ah, c'est quand-même fini ? C'est pas trop tôt ! Qu'est-ce qu'il a pu nous faire chier, c'con là, avec tout son boucan jusqu'à plus d'heure !!! ")

- Monsieur zalandeau,  comment votre œuvre a-t-elle été perçue par vos contemporains ?

-Ben c'est à dire que ma femme m'a dit : " Je m'attendais à encore bien pire que ça !!! "

....................

        

Glenn Miller - Moonlight serenade



 

vendredi 3 mai 2024

Mémoires et radotages (549) – Un de mes commentaires quelque part, on ne sait quand

 


Écrit le mardi 30 avril 2024

80 (piges)... Ce n'est pas une espérance de vie raisonnablement envisageable pour un diabétique... Ma sœur en est morte à 61 ans... J'ai fait déjà beaucoup de rab par rapport à elle...

Le saut vers le néant se rapproche... Et chaque jour qui passe me laisse dans l'interrogation de ce qui me reste de bisous à donner à mes enfants... Calcul de probabilité... ça commence à être un peu loin... L'autre jour j'ai voulu faire un planning... Plus moyen, je ne savais plus faire... Alors que en 2023 à même époque j'en avais fait un du premier coup !

On "désapprend", on perd, on retombe en enfance avec les rides en plus...

Quelle est la finalité de cette vie ? Pourquoi vivre, puisqu'il faut mourir ?

Pourquoi cette comédie hormonale de l'amour qui n'est que du désir et que l'on confond avec l'amour vrai, sans sexe... C'est pourquoi l'amour filial et l'amour parental m'apparaissent comme les plus vrais, puisqu'il n'y a pas cette envie bestiale libidineuse... qui nous ramène à l'animal plus qu'à l'humain...

Oui, pourquoi tout cela ? Et pour quel résultat ? Un échec, deux échecs, trois échecs ?

Des questions qui restent sans réponses, alors que nous ressassons regrets et remords entre deux tremblements, entre deux malaises, entre deux trous de mémoires, entre deux souvenirs qui apparaissent maintenant encore plus noirs qu'à l'époque où ils se sont produits...

Heuuu... Très bonne journée quand même...

Et puis la pensée continue, hors commentaires, pour soi-même…

Échec collectif me direz-vous ? Parce que si l'avenir est bouché pour ces enfants chéris dont je porte la responsabilité de les avoir fait naître dans un enfer, ce n'est pas que de ma faute, mais celle d'une société d'électeurs soit débiles profonds dont les choix sont impensés et irraisonnés, stimulés par des impressions fausses et proies de toutes sortes de manipulations, soit vénaux pour ces autres gens qui choisissent très rationnellement leur intérêt financier personnel et qui tirent tant la couverture à eux, que les autres Français se retrouvent démunis, abandonnés, dépouillés, dépersonnalisés, sans espoir, sans avenir...

Oui, mais échec personnel aussi... Comme je l'avais expliqué il y a quelque temps, on est ce que l'on est, on a ce que l'on est et l'on est ce que l'on a... Et quand on part de bas, le temps de l'ascenseur social n'existe plus, on reste en bas, malgré les efforts désespérés que l'on s'acharne à faire pour remonter à la surface... Oui mais les Alain Delon qui nous attendent au bord de la piscine, replongent inlassablement nos têtes de Maurice Ronet... La plage doit rester aux vainqueurs de la mondialisation, à ceux qui n'ont même pas à traverser la rue... « Allo, cher Ministre ? Ici c'est Fafa !... Oui... T'aurais une place pour mon fils ?... Des diplômes ? Heuuu, recalé au bac… Mis en examen… Je ne vois rien d’autre comme référence… Ca ira ?... Directeur de Cabinet ? Mais c'est parfait ! A charge de revanche !... C'est ça... Bye ! »…

Échec programmé des petits, des sans dents, des sans grades, qui plafonnent à des niveaux qui leur sont dévolus, bardés de diplômes et éditeurs de centaines de candidatures sans réponse autre que le mépris…

Oui échec personnel, en plus de l’échec collectif…

Et je ne vois pas ce qui pourrait bien changer… A part la prise de la Bastille… Enfin, vous me comprenez… La bastille se situerait plutôt rue du Faubourg Saint-Honoré, rue Varenne, rue de l’université ou même rue de Vaugirard… avec plein de têtes à couper… Je crois aussi qu’avenue du Bosquet il y aurait des têtes à recadrer, pour leur éviter d’être coupées…

Mais la guillotine ne peut pas régler définitivement les problèmes… Seul, le bon choix des personnes honnêtes, dévouées à leur patrie (car c’est nous, la Patrie), pour diriger la France, redonnerait du sang neuf, de l’espoir et de l’envie de vivre…

Ce sera dans une autre vie… Je vous aime mes bons petits… Je demande votre pardon.

        

jeudi 2 mai 2024

Sarthe : un septuagénaire condamné à six mois de prison après avoir menacé de mort Emmanuel et Brigitte Macron

 


Mardi 30 avril, au Mans, un septuagénaire a été condamné à six mois de prison ferme. Dans un courrier adressé à son assistante sociale, il avait insulté et menacé de mort Emmanuel et Brigitte Macron.

Mardi 30 avril, le tribunal correctionnel du Mans (Sarthe) a condamné à six mois de prison ferme un septuagénaire pour outrage et menace de mort à l’encontre d’Emmanuel et Brigitte Macron, raconte France Bleu. Dans un courrier du lundi 15 avril adressé à son assistante sociale du Centre communal d'action sociale (CCAS) du Mans, l’homme appelait à "égorger" le couple présidentiel. C’est cette dernière qui avait ensuite donné l’alerte après avoir reçu le courrier.

Dans la lettre, le mis en cause avait réalisé un photomontage avec "des images très violentes", décrit France Bleu, sur lesquelles on voyait des corps décapités et la tête du chef de l’État sur une pique. Il avait également insulté Brigitte Macron en l’appelant "pouffiasse transgenre" et parlé de "risques" pour la vie d’Emmanuel Macron lors de la cérémonie d’ouverture des JO de Paris 2024.

Le septuagénaire a expliqué qu’il s’agissait d’un "appel au secours"

Lors de sa comparution immédiate, cet ancien chef de projet informatique a expliqué qu’il s’agissait d’un "appel au secours" pour alerter sur sa situation : il ne parvenait pas à obtenir un logement social. Il a aussi déclaré qu’il n’avait "pas l'intention de faire du mal" ni d’envoyer son courrier à l’Élysée. Pour le procureur, "c'est un courrier qui peut faire sourire, paraître anodin, mais il s'agit de faits graves, extrêmement violents, reflétant de la haine, avec l'intention que cela atteigne le couple présidentiel". L’attitude du mis en cause n’est "pas excusable". Son avocat a déclaré qu’il ferait appel de cette condamnation.

publié le 1 mai à 10h54, Capucine Trollion, 6Medias

 

lundi 29 avril 2024

Mémoires et radotages (548) – La brume, ça fout le bourdon et aussi la flemme !

 


Écrit le lundi 29 avril 2024

Bon ! Cela a bien avancé… Il est vrai que je ne suis pas fâché de ne plus devoir être sur mon échafaudage branlant… J’ai eu à deux reprises des pertes d’équilibres qui m’ont incité à rajouter les lisses des garde-corps… ça y est, plus de plateforme ! Pour les quelques finitions du bord du toit, une échelle double suffira… A part plein de finitions, il me reste un montant à l’intérieur à découper et à poser… Il y a de la brume dehors… Au moins je vais être à l’abri…

Samedi après-midi et les deux heures de bruit autorisé de dimanche j’ai marné comme un malade ! Mais le reste de dimanche, j’ai quand même bossé, mais sans faire de bruit : enlever les films de protections, nettoyer sommairement, démonter et ranger cet échafaudage…

Ce qu’il y a de bon dans cette aventure, c’est que les bastaings que je ne parvenais pas à porter tout seul au début du chantier… et bien là, j’ai réussi à les porter tout seul comme un grand… Enfin, je veux dire comme un adulte pas vieux…

Comme quoi, je devrais toute l’année construire des vérandas, ça me remusclerait… J’ai aussi constaté que j’ai mangé beaucoup plus de glucides pour compenser les efforts physiques intenses… Et que ma glycémie n’a pas beaucoup augmenté… Comme quoi ce que les chercheurs disent à propos du sport et de l’activité intense qui permettrait de compenser les effets du diabète est partiellement vrai… Partiellement… Parce que j’ai quand même pris mes médocs habituels… Alors que eux disent que cela remplacerait les médocs : Mon cul !

Bref, il me reste que peu de travail, des petites finitions, des trous à calfeutrer, etc… Mais comme par hasard, moins il en reste, moins j’ai le courage… Et cette brume qui tarde à se dissiper...

À preuve, cet écrit que je prends largement le temps d’écrire, alors qu’il n’en est nul besoin…

Cet ouvrage, certainement le dernier de toute ma vie, sera ma fierté…

Évidemment, qu’il ne sera pas aussi beau que s’il était édifié avec des matériaux adéquats !

Mais j’ai cherché début mars sur Internet, pendant des heures et des heures, et jamais je n’ai trouvé de revendeur de profils alu adaptés, ce qui aurait donné un résultat bien plus beau…

Alors j‘ai fait avec les moyens du bord… Des règles de plâtriers pour les structures, et des grosses cornières pour supporter la porte de service en PVC, des règles de maçons pour les finitions et la fonction de pare close…

J’ai du, outre dévaliser mon Bricomarché, aller chez Bricodépot à 59 km, chez Leroy Merlin à 65 km et chez Leroy Merlin à 114 km…

Bon ! Il me faut finir… à petite vitesse… en dilettante… Pas comme samedi trempé comme une lavette sous cette averse qui m‘a surpris avec mes outils électriques… Ah la course pour débrancher, cacher perceuse, meuleuse, visseuse…

Cela me rappelle le bon vieux temps où j’étais le gérant-contremaître-ouvrier-manœuvre-comptable-commercial de ma boîte…

Enfin, quand je dis bon temps, c’est quand on exclut les mauvais moments des payeurs qui ne me payent pas, les clients qui m’estampent, les bagarres avec d’autres ouvriers pour l’accès aux coffrets électriques de chantiers… Et ces pluies, ces gels…

Je me souviens, l’hiver 96-97… Il s’est mis à geler du 24 décembre jusqu’au 13 janvier… Pendant longtemps nous avions eu -13° à -15°… Et même quand la température est redevenue positive il avait fallu attendre que les supports soient dégelés, avant de pouvoir poser…

Ouais ! Ça y est je repense au mauvais coté de ce passé… Bon je vais aller bosser, ça m’occupera l’esprit à autre chose…

Allez ! Boulot, boulot !

        

 

mercredi 10 avril 2024

Mémoires et radotages (546) – Pas le temps : Véranda…

 


Écrit le mercredi 10 avril 2024

Pour une fois, pas de pluie et pas de vent… Ce n’est pas le temps de mollir !

 

Fatigué à 20 heures… Outils et matériels tout juste rangés, de toute façon je ne pouvais pas attaquer la couverture à cette heure-ci… Demain je m'y mets… Mais le matin, il me faudra des matériaux pour faire les rives…

 

lundi 8 avril 2024

Mémoires et radotages (544) – Souvenirs d’un temps de paix et de concorde

 


Écrit le vendredi 05 avril 2024

Tiré d’un de mes commentaires : Dans les années 70 à 90... J'avais des amis, des ouvriers sous mes ordres, des collègues d'origine musulmane... Mais cela n'a jamais posé le moindre problème... Ils étaient gentils, travailleurs pour la plupart, sympas, respectueux et je le leur rendais bien...

J’ai un ami, qui s’appelle Eddie et qui est Tunisien… Je l’aime et suis content de l’embrasser les rares fois où il vient en France et que je suis présent…

J’ai eu un ouvrier Marocain… Un vrai copain ! Qu’est-ce que je l’appréciais… Je prenais une bière, lui un café ou bien une limonade… Et alors ? Quelle importance ? L’islam n’empiétait pas plus que ça entre nous… Qu’est-il devenu ? Allah seul le sait !

Et Momo (Mohamed), patron d’un bistrot à Ivry sur Seine ou Vitry, je ne sais plus… Il jaspinait en argot… Toutes les histoires salaces, il les connaissait… Un vrai Titi Parisien… C’était il y a si longtemps, (à la fin des années 80) ! Et tant d’autres…

Jamais je n'aurais pu croire un seul instant que la situation deviendrait celle qu'elle est actuellement...

Certes, beaucoup s’intègrent... Mais il faut bien le reconnaître de moins en moins... La Violence et la conquête sont des enseignements que leurs imams leur inculquent et même les jeunes de la 3ème génération se font endoctriner par les absurdités qui leur sont enseignées, directement, ou sur les réseaux dits "sociaux"...

Le seul remède ? C'est une fermeté absolue ! Ces racailles, ces violents et ces extrémistes ne sont que des lâches... Et ils ne craignent que la force... Mais justice, établissements pénitentiaires et police ne sont plus au rendez-vous... Le pouvoir et la justice répriment les forces de l'ordre et les victimes, qui ont tous les torts quoi qu'il arrive... de sorte que les flics n'osent plus faire leur métier... Et parfois se défoulent sur le citoyen lambda qui a commis une très légère infraction... C'est voulu par le pouvoir actuel : Faire peur au peuple, afin qu'il obéisse !!!

C’était le bon temps…

        

dimanche 7 avril 2024

Mémoires et radotages (545) – Véranda… Avancement


 

Écrit le samedi 06 avril 2024

J’ai commencé le 9 mars

Pluie, vent, pluie, vent, pluie, vent.

La pluie, avec les outillages électriques, c’est rédhibitoire !

Le vent, quand je trace et que j’aligne des verticales, ça fait bouger et tout est faux, c’est rédhibitoire également.

Et puis, comme ici on est approvisionné par les corbeaux,  je suis allé chercher des règles alu à 65 km et une autre fois à 114 km… Rares sont les heures où j’ai pu travailler et avancer le chantier…

Aujourd’hui, après des petites emplettes complémentaires, j’ai commencé à bosser bien avant 11 heures… Du vent sans pluie, mais comme je n’avais que du perçage et du meulage, ça  s’est bien passé. Juste une petite pause repas d’un quart d’heure vers 16 heures… Et je viens de déposer les outils à 21 heures… J’ai bien bossé (pour un vieux)… C’est dur, c’est lourd, c’est fatigant, c’est compliqué (je change d’idée en permanence et je perds le fil… Où est passée la perceuse ? Zut j’ai posé mon crayon au sous-sol ! Crotte je n’ai pas pris la bonne mèche !)

Enfin, bref, heureusement que lorsque j’étais plus jeune j’allais beaucoup plus vite, sinon je n’aurais pas gagné ma croûte !

 

Ce soir… Une bonne nuit de sommeil… C’est que la fatigue, c’est fatigant ! Et puis demain, c’est dimanche, pas le droit de faire du bruit ! Alors même s’il fait beau… Jour de relâche !

Aurais-je fini avant de caner ? Ou bien serais-je cané avant d’avoir fini ?

Putain de temps ! J’ai travaillé combien ? 8 fois… Et pas souvent 10 heures d’affilées, parfois seulement quelques heures !

Que sera, sera

Whatever will be, will be

The future's not ours to see

Que sera, sera

What will be, will be…