Écrit le 23 mai 2008
Si
j’avais été toi, un jour je t’aurais dit :
« Sais-tu ma très gentille et plus fidèle
amie,
Que je viens de
connaître, une femme qui en mon cœur,
Allume une chaude et
tendre flamme de bonheur ? ».
« Toi qui es mon amie, je voulais
t’avertir
Afin de te faire
partager mon bonheur
Certain de la joie
que tu saches que je vais enfin être heureux
Je voulais ne le
dire qu’à toi, car je sais que mon bonheur compte pour toi… »
Mais tu n’es pas
moi.
Toi, tu as préféré
me tourner le dos, au lieu de me faire connaître tes joies. Je n'étais pas ton ami, mais ne le savais pas.
Je sais maintenant,
que tu es frivole, que l’amitié pour toi, n’est qu’un mot sans parole.
Que les mots que tu
dis ne sont que pièges, que tu tends aux autres, que tu tends à toi-même et que
certains t’empruntent et retournent contre toi.
Tu prends et tu
jettes, ignorant la souffrance que tu fais subir. Car tu n’as que des droits
concernant ta personne. Les devoirs tu les ignores et tu risques d’en souffrir,
le jour où ton miroir se brisera et qu’en face de toi, il n’y aura plus
personne…
Tu n'es pas moi... et je ne serais jamais, non jamais, toi !
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