Écrit par autrui en 2017
« Macron est un psychopathe » : l’analyse du professeur Adriano Sagatori, psychiatre, psychothérapeute
L’analyse que j’ai faite sur Emmanuel Macron provient à la fois des
images que j’ai en ma possession et de la biographie dont le candidat se
revendique.
Le jeune Emmanuel Macron à l’âge de 15 ans a subi une grave agression sexuelle via sa professeur qui à l’époque avait 39 ans.
Au lieu de la vision à l’eau de rose de cette union qu’on pourrait
définir grotesquement comme un mariage réparateur (pour réparer le
viol), j’y vois plutôt le fait que s’est bloqué prématurément le
développement d’Emmanuel Macron en pleine adolescence à cause d’une
opération de séduction à la fois psychique et physique.
Ce qui s’est passé, c’est à la fois dépasser un tabou et dépasser une limite. La limite même que prescrit le tabou.
Donc le premier passage a été la conviction que tout était permis.
Naturellement, ce sentiment de toute-puissance a eu lieu au sein de
la bonne société bourgeoise d’Amiens — dans le nord de la France.
Si cette union avait eu lieu dans l’environnement social prolétaire,
cet environnement qu’Emmanuel Macron méprise profondément, et bien
Emmanuel Macron aurait été détruit, et aurait été suivi par les services
sociaux, et Brigitte Macron serait en prison.
C’est la triste vérité.
Le paradoxe veut qu’il semble pathologiquement normal, mais nous sommes en plein narcissisme
Nous sommes confrontés à un problème de type pédophile.
Une fois les limites du tabou dépassées, il s’est passé que l’idée
d’omnipotence propre à chaque enfant a été ultérieurement encouragée.
Jusqu’à dépasser un propre chevauchement de la réalité qui renforcé par
des avantages intellectuels, lui font extrapoler ses limites
personnelles.
Le paradoxe veut qu’il semble pathologiquement normal, mais nous sommes en plein narcissisme.
Macron, depuis sa jeunesse, nourrit une ambition hors norme. Il a
besoin du regard et de l’admiration des autres pour compenser un
complexe d’infériorité. Donc nous sommes confrontés à 3 paradigmes qui
définissent un certain type de personnalité :
- L’idée qu’il n’existe pas de limite.
- Un sentiment d’omnipotence dès l’enfance, mais encore plus présent à l’âge adulte.
- Un narcissisme qu’il n’est pas interdit de définir comme malveillant.
Qu’est-ce qui structure ces trois paradigmes ?
Cela structure ce qu’on appelle une psychopathie, car nous sommes
confrontés à un individu — Emmanuel Macron — qui, comme organisation
psychique, est parfaitement définissable comme psychopathe.
Le mot « psychopathe » n’est pas une insulte. Une grande
psychanalyste américaine — Nancy Mac Williams — explique textuellement
qu’un psychopathe peut atteindre les plus hauts niveaux de
l’Administration américaine.
Donc le psychopathe peut bien sûr être un déviant, mais s’il est bien
organisé d’un point de vue culturel, social, etc., il peut aussi
atteindre les sommets de l’élite dans les domaines de la politique, la
finance, ce qui est le cas dans le profil étudié.
La personnalité psychopathe est caractérisée par un nombre infini d’items — disons des points de références — par exemple :
- une fascination pour le superficiel,
- la capacité d’attraction,
- le malaise dans la confrontation,
Ce que nous voyons bien dans les crises d’hystérie de Macron au
moment où l’admiration pâlit et souligne les faiblesses de son identité.
Cette hystérie est caractérisée par son intérêt pour les mises en
scènes théâtrales, ce qui ne manque pas de rappeler — coïncidence
troublante — son histoire personnelle avec son enseignante — qui
enseignait le théâtre.
Macron se défend donc en
modifiant le sens de ses déclarations — mais sans jamais exprimer de
remords —, car il ne ressent jamais de culpabilité
Le psychopathe n’est pas digne de confiance, mais réussit à travers
la fascination qu’il exerce à séduire son interlocuteur. Il n’a aucun
remords.
Lorsque Macron parle des pauvres ou insulte les prolétaires du Nord
en les réduisant à être des fumeurs et des alcooliques, lorsque Macron
dénigre les femmes en les rabaissant au rang d’ignorantes, nous revenons
dans le discours parfaitement expliqué par Jacques Lacan.
Et il est vrai que son inconscient ne voulait pas vraiment le dire,
mais son inconscient a parlé pour lui. Car il croit ce qu’il dit et ne
peut pas s’empêcher de l’exprimer.
Macron se défend donc en modifiant le sens de ses déclarations — mais
sans jamais exprimer de remords —, car il ne ressent jamais de
culpabilité.
Donc quel est le problème du point de vue psychiatrique ?
Quelle est la dangerosité du personnage ?
Macron n’aime pas la France et ne lutte pas pour le peuple de France
Je réponds que ça ne fait aucun doute : Emmanuel Macron, comme tous les psychopathes est particulièrement dangereux.
Un intellectuel américain spécialisé dans les – appelons ça
« perturbations bien intégrées » chez les notables — a dit textuellement
« les serials killer détruisent les familles alors que les
psychopathes en poste au sommet de la politique et de l’économie ruinent
les sociétés. »
Pourquoi Macron est dangereux ? Il est dangereux, car :
- Comme tous les psychopathes, Macron a une haute idée de lui-même.
- Macron n’aime pas la France et ne lutte pas pour le peuple de France.
- Macron s’aime énormément et il lutte pour maintenir sa fragile identité.
La conflictualité face à Marine Le Pen n’est pas pour lui une
conflictualité seulement de niveau politique, il ne peut pas accepter
qu’une femme, la Marianne, la représentante de la France soit son
antagonisme. Il a besoin d’une mère nourricière.
Toute autre relation avec une femme devient difficile à assumer.
Donc cette fragilité est très dangereuse, car comme pour tous les
psychopathes qui travaillent uniquement pour eux-mêmes, et qui
considèrent les autres comme des instruments pour sa propre grandeur, il
souligne dans ce cas à quel point de danger se trouve actuellement un
pays comme la France face à un candidat de ce genre.
Rama Yade a déclaré sur
iTélé que selon elle,
« il faut évaluer l’état psychologique d’Emmanuel Macron »
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Nancy Verdier, et transcription de Josick Croyal pour
Dreuz.info.