Monsieur le Premier ministre,
La
réponse que vous apportez aux drames qui étaient prévisibles et qui viennent de
frapper la France à plusieurs reprises démontre à quel point, avec le Président
de la République et votre gouvernement, vous créez l'émoi et l'incompréhension mais
également la colère
et l'exaspération en
raison de votre déni de la réalité. Et vous vous obstinez avec une
sidérante ténacité qui confine à la folie, à répondre non seulement à côté mais
hors sujet. Car l'enjeu à ce stade ce n'est plus le vivre ensemble qui est
devenu une utopie, mais l'adoption de mesures d'exception pour inverser le
cours funeste des choses que nous devons au manque de clairvoyance de la classe
politique dans son ensemble. Nul ne pourra cependant contester la forte
aggravation de la situation depuis 2012. Honte à tous les naufrageurs et
fossoyeurs de notre belle France !
Quel
pacte voulez-vous passer avec ceux qui rejettent nos valeurs, nos traditions,
nos modes de vie, avec ceux qui
rejettent nos lois et veulent imposer les leurs? Un pacte avec le diable ? Pourquoi pas
un traité qui abandonnerait à
ceux encore minoritaires
tous les droits
quand on sait – mais
peut-être ne le
savez-vous pas – que dans
les pays où
ils sont majoritaires ils
n'accordent aucun droit aux minorités ? Il ne s'agit pas de passer un pacte. Ce
serait signer un aveu de faiblesse compris comme l'acceptation de la
dhimmitude, c'est à dire de la soumission. Il s'agit au contraire, et il serait
grand temps, de soumettre l'islam en France à nos règles et de lui poser nos
conditions. Et ceux qui ne les acceptent pas doivent partir. Au besoin, il
faudra même les expulser.
Car
il faut bien que vous compreniez que le problème c'est bien l'islam. Ce n'est
pas l'islamisme, l'islam radical, l'islam politique, l'islam modéré, l'islam
psychiatrique, le salafisme, ou même l’État islamique. Non, comme M. Erdogan
répondant sèchement à un journaliste qui l'interrogeait sur l'islam modéré, il
faut le dire : «il n'y a pas d'islam modéré, l'islam c'est l'islam». Et partout
dans le monde on tue au nom de l'islam. Depuis que l'islam existe, ses combattants
n'ont eu de
cesse de tuer,
de massacrer les
populations non musulmanes
et en particulier
les chrétiens. D'ailleurs, il y a tout juste 100 ans, se déroulait le
génocide arménien décidé par les Turcs musulmans. Finalement, qu'est-ce que
l'islam a apporté à l'humanité si ce n'est la violence, l'esclavage et la mort ?
Contrairement à
ce que vous
affirmez, l'islam n'est
pas compatible avec
la démocratie. Et
c'est simple à démontrer: en effet, en démocratie c'est
l'homme qui fait la loi. En islam, c'est Dieu qui a fait la loi et il n'est pas
permis à l'homme de la changer; elle est inscrite définitivement dans le Coran.
C'est pourquoi vous n'obtiendrez jamais une réforme de l'islam. Pas plus que
vous ne réussirez à déradicaliser ces fous d'Allah. Et c'est pourquoi il n'y a
pas d'islam de France mais l'islam en France. Et pour comprendre cette guerre
qui est menée sur notre propre sol et sur celui de l'Europe par l'islam, il
faut aller à la racine du mal. C'est bien les versets du Coran – qui régit
l'islam –qui appellent au meurtre des infidèles. C'est bien les versets du Coran
qui institutionnalisent l'infériorité des femmes. Et la laïcité est contraire à
la culture musulmane. De plus, la Charia a été jugée incompatible avec la
démocratie par la CEDH en 2003. Le Coran, cette «constitution
politico-religieuse», est donc incompatible avec la Constitution française. Des
centaines de versets sont, en effet, non seulement en opposition frontale avec
notre culture mais sont même susceptibles d'action pénale dans la mesure où ils
constituent une évidente provocation à la haine, à la violence, à la
discrimination, au racisme, au sexisme, à l'antisémitisme. Et le discours tenu
par ceux avec qui vous voulez pactiser n'est que manipulation, enfumage et
mensonge. Quant aux propos tenus par un imam de Nice, après
le carnage du
14 juillet, affirmant
que les musulmans
refuseront la laïcité,
ils sont inadmissibles
et inacceptables. Les patriotes
ne pourront plus
tolérer très longtemps
ce type de
discours que vous
avez d'ailleurs favorisé en
prônant un laïcisme virulent appliqué, en réalité, uniquement à l'égard des
chrétiens. Car votre laïcité présente
un visage à deux faces. La première, telle une dague, a frappé violemment les
catholiques, il y a un peu plus d'un siècle, avec la loi de séparation des
Églises et de l’État imposée dans la
douleur. La seconde
s'est transformée en armure
pour protéger et
pour favoriser l'expansion
d'un culte non
seulement étranger mais incompatible avec la réalité historique
de la France, de sa culture, de ses traditions. Ce mépris du peuple de France
et de ses racines chrétiennes est insupportable et irresponsable. C'est indigne
car c'est trahir l'âme de la France.
Le
résultat aujourd'hui c'est la radicalisation d'habitants du territoire français
sous l'emprise continue d'imams dégénérés
qui n'auraient jamais
dû pouvoir prêcher
sur notre sol.
Cela veut dire
que des centaines
de milliers d'habitants de
notre pays, voire
plus, sont aujourd'hui
radicalisés et n'ont
pas l'intention de s'intégrer
à la communauté nationale, bien
au contraire, puisqu'ils ont été «éduqués» dans la haine de la France et des
Français.
C'est
ainsi que 24 % des jeunes de 18 à 34 ans dans notre pays ont une opinion
favorable à l’État islamique et que
35 % des
musulmans français approuvent
les attentats kamikazes
pour défendre l'islam !
(sondage ICM Research 2015).
Alors –soyez-en certain – des dizaines de milliers de «déséquilibrés»
bénéficiant de la solidarité de leurs frères et sœurs dans la multitude de
«Molenbeek» constitués par les territoires perdus de la République se tiennent
prêts à agir au signal. Comment réagirez-vous à la prochaine tuerie de masse,
lorsque nous dénombrerons des centaines de morts ? Car le pire est devant nous.
Et
«en politique, il faut toujours envisager, non pas le mieux, mais le pire, pour
que ce pire ne se produise pas, pour que l'on se donne les moyens de le
combattre».
Mais
le combattre c'est le rôle et la responsabilité du politique qui doit savoir
décider et anticiper au lieu de réagir aux événements dans l'urgence et dans
l'hésitation. Un chef de guerre ne commente pas ; il analyse, décide et frappe
vite et fort. Par ailleurs, ce n'est pas à l’État de s'occuper des affaires
cultuelles et à mettre en place un système de financement pour permettre la
promotion d'une culture qui, de surcroît, est hostile à la nôtre. Et l'idée
saugrenue de la fondation pour l'islam est devenue une ineptie car nous ne
pouvons plus «vivre ensemble» avec qui nous veut du mal. Alors, pourquoi
vouloir promouvoir une culture qui veut notre mort ? C'est insensé et criminel
!
Devant
ce qui devrait être l'évidence pour un responsable politique soucieux de la
protection de la collectivité et de son avenir, vous vous préparez à faire de
nouvelles concessions pour ménager un électorat qui a déjà permis en 2012
l'élection de l'actuel
Président de la
République. On n'a
pas le droit
de sacrifier le
peuple français sur l'autel des
intérêts à court
terme d'un parti
politique quel qu'il
soit. Car sur
le long terme,
sachez-le, vous serez balayés
par ceux-là mêmes
que vousavez encensés
jusqu'ici pour des
raisons électorales et
avec lesquels vous voulez passer un pacte. Alors, si on
veut éviter la guerre civile ethnique qui vient, il est temps que le politique
se rende à
l'évidence. Et c'est
donc l'inverse qu'il
faut dorénavant envisager
sérieusement, à savoir
engager un processus de
désislamisation du pays
pour réduire progressivement mais
fortement la part
de la population
de confession musulmane dans notre collectivité qui doit retrouver un
minimum de cohérence interne si on veut obtenir un jour
la concorde au
sein d'une société
apaisée. Il faudra
du temps, probablement
trois ou quatre
décennies à condition de le vouloir,
et cela, tout en respectant l'état de droit. Car conduire la politique dans un
État de droit, c'est à dire gouverner une démocratie, c'est respecter la
Constitution et les lois et faire appliquer ces dernières, ce que précisément
vous ne faites pas. C'est donc un virage à 180 degrés qu'il faut entreprendre
pour supprimer tout ce qui a contribué à cet appel d'air migratoire insensé
depuis très longtemps pour amorcer le mouvement inverse.
Et sans
énumérer toutes les
mesures immédiates répondant
au principe de
précaution et celles
à inscrire sur le
moyen/long terme, on citera: l'arrêt de l'immigration issue de pays musulmans,
l'arrêt du regroupement familial, la fermeture
et la destruction
de toutes les
mosquées salafistes et
des écoles coraniques,
l'expulsion des imams étrangers, l'arrêt de toute nouvelle
construction de mosquée, l'interdiction de l'abattage rituel
des animaux et donc du halal (barbarie à l'échelle industrielle contraire à
notre tradition et indigne d'un pays civilisé), l'interdiction des burqas,
qamis et autres accoutrements vestimentaires et des prières de rue, l'expulsion
des familles polygames, la réforme
du code de la nationalité, la suppression du droit du sol et l'adoption du
droit du sang, la suppression de la double-nationalité, l'expulsion des
clandestins, la suppression de l'AME, la dissolution de l'UOIF, annexe des
Frères musulmans, le retour dans leur pays des étrangers sans emploi,
l'instauration de la préférence de civilisation ...
L'ensemble
du plan de mesures doit viser à faciliter le renvoi dans leurs pays d'origine,
y compris par la contrainte, de cette immigration (y compris les binationaux
après déchéance de la nationalité française), qui ne respecte pas nos règles de
vie et nos traditions et qui ne doit plus pouvoir imposer sa culture mortifère
sur notre territoire. C'est d'ailleurs l'intérêt de nos compatriotes musulmans
intégrés, voire assimilés.
L'heure
est grave et les années qui viennent seront de toutes façons difficiles et
douloureuses. Alors, que nos responsables politiques ne perdent plus de temps
et s'attellent à la mise en œuvre d'un véritable plan de sauvegarde de la
France et de la Nation ! Car face à une situation qui se détériore de jour en
jour, vous ne pourrez pas vous soustraire à ce dilemme : le sursaut ou le
suicide. En refusant le sursaut vous
choisiriez le suicide, votre suicide politique qui ne serait qu'anecdotique
s'il n'entraînait pas, en fait, le suicide de la France. Il ne resterait plus
alors au peuple que deux solutions : la révolte ou la soumission, dans les deux
cas des larmes et du sang. Pour ma part, mon choix est fait : je ne me
soumettrai jamais.
Le
9 août 2016
Général
(2s) Antoine MARTINEZ
Coprésident
des Volontaires Pour la France