Note de Zalandeau : Je me suis trompé... seulement 99.999 ans d’arriération... Peuvent mieux faire...
Arabie saoudite: Des scientifiques admettent que la femme est un mammifère, mais pas un « humain »
Riyad Dans un jugement sans précédent, un panel composé de
scientifiques saoudiens vient de conclure que les femmes sont en fait
des mammifères et qu’ils auraient en fait les mêmes droits que d’autres
espèces telles que les chameaux, les dromadaires et même les chèvres.
Le
verdict, qui est tombé seulement quelques heures avant la Journée
internationale de la femme, est considéré comme « historique » selon
certains experts et groupes de défense des droits de la femme.
« C’est un grand pas en avant pour toutes les femmes de l’Arabie saoudite », conclut Colette Turcotte, porte-parole de Femme Libération-Action. « Ça peut sembler trop peu, trop tard, mais on est parti de très loin » explique-t-elle, visiblement enthousiaste. « À partir de maintenant, les femmes seront considérées à part entière comme appartenant à la classe des mammifères, alors qu’avant on leur concédait le statut juridique d’un objet ou d’un mobilier de maison » admet-elle.
« C’est un grand pas en avant pour toutes les femmes de l’Arabie saoudite », conclut Colette Turcotte, porte-parole de Femme Libération-Action. « Ça peut sembler trop peu, trop tard, mais on est parti de très loin » explique-t-elle, visiblement enthousiaste. « À partir de maintenant, les femmes seront considérées à part entière comme appartenant à la classe des mammifères, alors qu’avant on leur concédait le statut juridique d’un objet ou d’un mobilier de maison » admet-elle.
Des objets « sans âmes »
Le
récent verdict viendrait complètement chamboulé les lois présentement
en vigueur en Arabie saoudite croit Julie Cousteau, porte-parole chez
Amnistie internationale.
« C’est le plus beau jour de ma vie! »,
a-t-elle admis en conférence de presse ce matin. « Enfin, les femmes ne
seront plus considérées comme des objets sans âmes, mais plutôt comme
des mammifères, avec les mêmes droits que d’autres animaux de leur
espèce tels que les dromadaires et les chèvres » lance-t-elle,
visiblement ému. « Elles sont encore loin d’être considéré à 100% comme
des humains, mais leurs conditions s’amélioreront drastiquement suite à
cette décision », croit-elle dur comme fer.
Un verdict sans précédent
Le
verdict qui est tombé comme une tonne de brique sur l’État saoudien,
n’a clairement pas fait l’unanimité des autorités religieuses et de
l’élite politique, constatent les experts.
« Ça risque de créer
d’importants remous du côté de l’aspect légal et juridique des choses »,
commente l’analyste politique spécialisé au Moyen-Orient, Julien
Poireau. « Si avant les femmes avaient les mêmes droits qu’une chaise ou
une table et étaient considérées comme une propriété individuelle,
elles ont maintenant un statut équivalent à certaines espèces animales,
ont doit donc, au grand minimum, les nourrir, les abreuver et leur
conférer un minium d’attention et de respect, ce qui n’était pas le cas
au préalable » note-t-il.
Selon le panel d’experts qui a tranché
sur la question, la femme serait dépourvue d’une âme, mais aurait
toutefois des qualités communes aux mammifères, ce qui expliquerait leur
capacité à procréer et à allaiter, et quelles soient dotés d’une
colonne vertébrale, ont conclu les experts lors de cette décision
historique.
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